Pour écrire le scénario d’un film, il n’y a pas 36 moyens...
En fait, 3 suffisent :
Le premier, s’inspirer de sa propre vie, (ou de la vie d’un autre), on appelle cela un « biopic ». Ces dernières années - vu que les scénaristes sont peu inspirés -, les biopics sont légion ! « Mandela », « Yves Saint Laurent », « Paul Walker » (« DIANA » pardon !).
Le deuxième, l’inventer de toutes pièces. On choisit un thème, on invente un personnage principal, des secondaires, un problème à résoudre, et c’est parti !
Enfin, le troisième moyen, c’est l’adaptation d’une œuvre déjà existante.
Un livre par exemple. « Millénium », la saga « Seigneur des anneaux » ou « Harry Potter »... Les exemples ne manquent pas.
Mais le film dont nous allons parler aujourd’hui est un mélange... un mélange de tout ça, saupoudré d’un peu de magie... mais de magie Disney bien sûr !
En fait, 3 suffisent :
Le premier, s’inspirer de sa propre vie, (ou de la vie d’un autre), on appelle cela un « biopic ». Ces dernières années - vu que les scénaristes sont peu inspirés -, les biopics sont légion ! « Mandela », « Yves Saint Laurent », « Paul Walker » (« DIANA » pardon !).
Le deuxième, l’inventer de toutes pièces. On choisit un thème, on invente un personnage principal, des secondaires, un problème à résoudre, et c’est parti !
Enfin, le troisième moyen, c’est l’adaptation d’une œuvre déjà existante.
Un livre par exemple. « Millénium », la saga « Seigneur des anneaux » ou « Harry Potter »... Les exemples ne manquent pas.
Mais le film dont nous allons parler aujourd’hui est un mélange... un mélange de tout ça, saupoudré d’un peu de magie... mais de magie Disney bien sûr !
AUJOURD'HUI, DANS LA RUBRIQUE "J'AI TESTE POUR VOUS", J'AI TESTE POUR VOUS: DANS L'OMBRE DE MARY !
Mary Poppins, cette nounou
magique qui gardait des enfants dans les beaux quartiers de Londres et qui,
pour obtenir d’eux une bonne tenue, effectuait quelques tours de magie bien
rodés qui forcément les émerveillaient, comme nous d’ailleurs. Elle était
belle, elle était gentille, elle chantait bien et avait de supers amis. La
nounou idéale quoi, ça change de Katy...
Tu ne met plus tes doigts dans les fesses de ta sœur! |
Et bien on ne le sait pas forcement, mais Mary Poppins est au départ une
héroïne de bouquins écrits par une australienne du nom de P.L. Travers (incarnée
par Emma Thomson) qui, au même titre qu’Harry Potter, a pour but de séduire les
plus jeunes lecteurs.
Seulement, écrire des histoires
pour enfants avec autant de joie, de bonheur et d’amour cache forcement quelque
chose...
Et Walt Disney (incarné par Tom Hanks) l’a bien compris. Amoureux de cette héroïne qui a bercée son enfance, il rêve depuis toujours de l’adapter sur grand écran.
Et quand deux grandes âmes blessées par la vie se rencontrent, avec dans l’idée de répandre la joie, cela donne une histoire des plus merveilleuses.
Et Walt Disney (incarné par Tom Hanks) l’a bien compris. Amoureux de cette héroïne qui a bercée son enfance, il rêve depuis toujours de l’adapter sur grand écran.
Et quand deux grandes âmes blessées par la vie se rencontrent, avec dans l’idée de répandre la joie, cela donne une histoire des plus merveilleuses.
Pam, voulez-vous, me céder les droits? |
Le film raconte donc comment Walt Disney a fait des pieds et des mains pour
convaincre P.L. Travers de lui céder les droits de ses romans pour qu’il les adapte, à sa sauce !
Plus tôt, je parlais de personnages blessés par la vie qui tentent de répandre la joie autour d’eux. C’est ainsi qu’est construit ce magnifique film.
En fait, il est divisé en deux parties bien distinctes : la joie, la peine.
La joie est caractérisée par la rencontre entre Walt et P.L.Travers en Californie où la confection du film « Mary Poppins » se déroule en 1961.
C’est drôle, le personnage de Travers est plus froid qu’un frigo tandis que la joie naturelle et la chaleur de Walt Disney réchauffent plus que le soleil de Californie !
Tom Hanks (inutile de dire qu’il s’agit de l'un de mes acteurs favoris avec Will Smith et DiCaprio) y est magistral ! On y croit, et à titre personnel, connaissant bien le monde de Disney et l’histoire de Walt Disney lui-même, c’est bluffant de réalisme !
Plus tôt, je parlais de personnages blessés par la vie qui tentent de répandre la joie autour d’eux. C’est ainsi qu’est construit ce magnifique film.
En fait, il est divisé en deux parties bien distinctes : la joie, la peine.
La joie est caractérisée par la rencontre entre Walt et P.L.Travers en Californie où la confection du film « Mary Poppins » se déroule en 1961.
C’est drôle, le personnage de Travers est plus froid qu’un frigo tandis que la joie naturelle et la chaleur de Walt Disney réchauffent plus que le soleil de Californie !
Tom Hanks (inutile de dire qu’il s’agit de l'un de mes acteurs favoris avec Will Smith et DiCaprio) y est magistral ! On y croit, et à titre personnel, connaissant bien le monde de Disney et l’histoire de Walt Disney lui-même, c’est bluffant de réalisme !
Le cheval, c'est trop génial! |
La peine, de son coté, est
caractérisée par de très nombreux flash-back sur
l’enfance de P.L. Travers, cette australienne qui eut une enfance TRES
difficile aux côtés de son père aimant mais alcoolique et d’une mère peu
présente...
La tristesse de ce que vit Traverse durant son enfance est très palpable et l’empathie est immédiate, ce qui rend la rencontre avec Walt Disney - plus tard - encore plus réconfortante...
La tristesse de ce que vit Traverse durant son enfance est très palpable et l’empathie est immédiate, ce qui rend la rencontre avec Walt Disney - plus tard - encore plus réconfortante...
Les biscuits LU, au blé complet, uniquement... |
En ce qui concerne le film, techniquement
c’est vraiment du bon boulot !
Les deux époques (années 1900 et année 1961) sont bien distinctes, et si les années 1900 sont quand même plus difficiles à rendre à l’écran, faute d’images d’époque en nombre conséquent, l’année 1961, elle, est vraiment bien retranscrite !
Justement, au sujet de cette fameuse année 1961...
Comme je vous l’ai dit, je suis un passionné Disney et en connais un rayon sur le sujet.
Et si, pour vous, Mickey, Donald et les autres personnages ressemblent à ce que vous vous figurez (oui oui, je vous vois vous figurer), sachez qu’il n’ont pas toujours ressemblé à cela !
Et c’est justement là que je voulais en venir. « Dans l’ombre de Mary » a réussi a recréer un univers Disney de l’époque 1955 et l’ouverture du premier Disneyland en Californie. Les produits dérivés d’époque sont sublimes, en parfait état, et quand on connait leur valeur financière - car pour la plupart ils sont introuvables - c’est magique de les voir, même à l’écran !
Même mention spéciale pour le passage du film où Walt Disney en personne invite P.L. Travers à Disneyland. Si le tournage s’est bien déroulé dans le vrai parc à thème, il faut savoir que le travail des accessoiristes a été magnifique ! Les décors, les costumes, les personnages, TOUT a été fabriqué de manière a ressembler au Disneyland de 1955 !
Les deux époques (années 1900 et année 1961) sont bien distinctes, et si les années 1900 sont quand même plus difficiles à rendre à l’écran, faute d’images d’époque en nombre conséquent, l’année 1961, elle, est vraiment bien retranscrite !
Justement, au sujet de cette fameuse année 1961...
Comme je vous l’ai dit, je suis un passionné Disney et en connais un rayon sur le sujet.
Et si, pour vous, Mickey, Donald et les autres personnages ressemblent à ce que vous vous figurez (oui oui, je vous vois vous figurer), sachez qu’il n’ont pas toujours ressemblé à cela !
Et c’est justement là que je voulais en venir. « Dans l’ombre de Mary » a réussi a recréer un univers Disney de l’époque 1955 et l’ouverture du premier Disneyland en Californie. Les produits dérivés d’époque sont sublimes, en parfait état, et quand on connait leur valeur financière - car pour la plupart ils sont introuvables - c’est magique de les voir, même à l’écran !
Même mention spéciale pour le passage du film où Walt Disney en personne invite P.L. Travers à Disneyland. Si le tournage s’est bien déroulé dans le vrai parc à thème, il faut savoir que le travail des accessoiristes a été magnifique ! Les décors, les costumes, les personnages, TOUT a été fabriqué de manière a ressembler au Disneyland de 1955 !
En gros, le spectateur est assis aux cotés de Travers et Disney dans la salle du Chinese Theater en 1964, et là le film prend vraiment tout son sens...
Je n’en dirai pas plus mais c’est LA que le film va finir de vous faire fondre !
En conclusion, je vous SOMME d’aller voir « Dans l’ombre de Mary » le 5 mars !
Attention tout de même, fait rare chez Disney (et pourtant le film a été très encadré par la Walt Disney Company lors de la réalisation), ce film n’est pas un film tout public !
Alors ok, il n’y a, certes, pas de gros mots, de violence ou de sexe, mais psychologiquement le film est parfois TRÈS dur !
Les flash-back notamment auront vite tendance à faire couler les larmes faciles, et la fin, l’une des plus belles jamais vues pour ma part, donnerait la chaire de poule... à une poule !
Cela dit, le film est beau, les acteurs jouent magnifiquement bien, le coté instructif et historique des personnages (et du film « Mary Poppins ») qui en découle est très prenant et il vous fera aimer Walt Disney, ses films, son Histoire...
Et vous savez ce qu’il y a de plus drôle dans cette histoire ?
Je hais Mary Poppins !
Alors Disney, bravo...
Bande annonce! |
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